📣 Le tsunami psychologique est là . Les premiers mots ont mis du temps à se déconfiner mais la souffrance des enfants est là . Le neuropsychiatre Boris Cyrulnik nous rappelait il y a quelques mois sur France Inter que “Dans une population en paix, 12% des adolescents sont en détresse. Les évaluations récentes évoquent pratiquement 40 % des adolescents en détresse. C’est faramineux !”. Les conséquences sont innombrables. Ils prennent la forme de troubles anxio-dépressifs, de symptômes somatiques, de décrochage scolaire, d’isolement social, de dépendance aux écrans, ou encore de maltraitance. Certaines violences ou lourdes difficultés nous sont aujourd’hui à peine dévoilées. En effet, les enfants mettent plus de temps à verbaliser leurs souffrances que les adultes.
Cela fait prêt de 2 ans que nos enfants subissent les mesures soit-disante sanitaires. Le bilan est incontestable, les enfants sont en détresse psychologique. Il est urgent de les remettre au centre de toutes les préoccupations et de réinstaurer un climat de sécurité pour qu’ils puissent s’épanouir et grandir dans la dignité. Face à ces innombrables constats dramatiques, de nombreuses voix se lèvent pour dire qu’elles refusent cette maltraitance de notre jeunesse, sacrifiée au nom de la sacro-sainte sécurité sanitaire ! C’est pour arrêter cette maltraitance que le mouvement des Mamans Louves est né au mois d’octobre 2021. Comme elles le disent sur leur site internet : “Notre mouvement est destiné à créer des rassemblements nationaux et des actions efficaces entre « mamans-louves » pour reprendre nos droits de décisions sur le bien-être et l’avenir de nos enfants. Stop aux chantages et à la peur, on protège nos mômes et on ira jusqu’au bout ! On ne lâche rien !”
Malheureusement, les innombrables sollicitations et doléances de parents auprès des différentes institutions n’ont suscité aucune réaction. Directeurs d’établissements, recteurs, élus locaux, préfets, députés, sénateurs, etc… tous renvoient la responsabilité sur le gouvernement. Le 4 novembre dernier, les Mamans Louves sont donc allées interpeller directement le Président de la République à l’Elysée pour lui demander un débat public pour nos enfants devant la presse. Les innombrables sollicitations et doléances de parents auprès des différentes institutions n’ont suscité quasiment aucune réaction !
Pourtant, que nous soyons professionnels de l’éducation, parents, tonton, tata, étudiants, élus ou citoyens, NOUS, adultes, avons le devoir et la responsabilité de la protection et de l’avenir des enfants et de la jeunesse. Car comme le disait Nelson Mandela : « Nous devons à nos enfants, les êtres les plus vulnérables de toute société, une vie exempte de violence et de peur. »
Les Mamans Louves sont donc déterminées à stopper ce carnage, car les conséquences sur leurs enfants seront irréversibles. Nous avons donc la chance d’accueillir différents membres actifs des Mamans Louves pour libérer la paroles et faire remonter l’opinion des parents, afin de montrer qu’elles n’accepterons plus, à l’unisson, et que leurs enfants soient sacrifiés sur l’autel de la politique sanitaire. Comme le dit si bien Mysa dans son dernier hymne Dystopie-19 : “On a trop cédé de terre… C’est maintenant ou jamais… Si on veut pas plonger dans les abysses. Nos enfants nous regardent Le cÅ“ur battant Notre force c’est eux Et leurs remparts c’est nous…”
